Téléphonie mobile, micro-ondes, smartphones, montres… Il existe de multiples objets connectés que nous utilisons au quotidien. Pourtant, les ondes électromagnétiques émises peuvent avoir des répercussions épidémiologiques sur le corps humain. Comme vaut mieux prévenir que guérir, il est impératif de respecter tout un panel de principe de précaution.

L’exposition à la pollution électromagnétique

Selon l’agence nationale des fréquences, l’exposition aux radiofréquences et aux champs électromagnétiques ne sont pas négligeables au quotidien. Entre téléphone mobile, appareils électriques, ordinateurs, télévisions, de multiples objets connectés s’immiscent dans notre quotidien. De plus, avec la domotique, on peut tout contrôler !

Reste qu’avec ces objets connectés, fonctionnant avec du Bluetooth, du Wi-Fi ou de la 4G/5G, l’exposition aux ondes est importante et on ne fait pas vraiment attention aux valeurs-limites (le forum 18 25 attire beaucoup d’attention)! Le public se pose de plus en plus de questions sur les effets biologiques du rayonnement électromagnétique.

Ondes DAS : L’absorption des ondes émises par les téléphones portables

Il ne faut surtout pas négliger une onde DAS. Quand vous regardez la fiche technique de téléphones portables, vous constaterez que pour chaque appareil il y a le débit d’absorption spécifique. Cet indice correspond aux ondes électromagnétiques qui sera absorbé par votre corps quand vous utilisez votre téléphone portable !

Ces ondes magnétiques peuvent provenir d’une antenne dédiée au GSM, d’un réseau 3G et 4G ou encore de la WiFi et du Bluetooth.

A l’instar du four micro-ondes, les ondes électriques et électromagnétiques émises par les téléphones mobiles provoquent une montée de la température des tissus.

Un produit faz up vous protègera d’une onde DAS efficacement !

L’exposition aux ondes 3G et 4G : Des rayonnements électromagnétiques non négligeables

Avec des millions d’abonnés en France, le téléphone portable est le principal mode d’exposition du public aux rayons électromagnétiques, surtout avec le déploiement de la 4G et de la 5G. Il existe quelques manœuvres pour éviter les champs électromagnétiques émis par nos smartphones sans pour autant se priver (découvrez le Realm 7 !)!

Voici quelques astuces – en parlant d’astuce, lisez : Call of Duty – code bunker Warzone – pour se protéger d’un rayonnement électromagnétique :

  • Vérifier le DAS mesurant les niveaux d’exposition aux radiofréquences, les limites d’exposition devant être inférieures à 2W/KG ;
  • Eviter de mettre le smartphone à côté du cœur, de l’aisselle, de la hanche ou des parties ;
  • Choisissez le kit mains-libres afin d’éviter que les ondes magnétiques émises ne viennent à proximité du cerveau ;
  • Ne pas garder en permanence son smartphone sur soi pour se protéger des émissions d’ondes nocives.

Garder ses distances avec les ondes WIFI

La majorité des ménages français ont internet chez eux. Certes c’est pratique pourtant, les émissions d’ondes sont devenues permanentes. Pour se protéger des effets sanitaires des fréquences, on ne l’active que si besoin est.

Et si vous n’êtes du genre à être mobile, préférez l’usage d’un câble réseau pour connecter le PC au modem. Durant la nuit, vous pouvez désactiver le wifi ou programmer la box afin qu’elle puisse se désactiver seule.

Les professionnels recommandent de maintenir une distance de sécurité de 1.50 mètres au moins. Ne pas mettre la box à côté de la tête-de-lit ou du fauteuil. Aussi, il ne surtout pas couper le faisceau en la mettant entre la box et le PC.

Enfin, en ce qui concerne les téléphones WiFi, réduisez le nombre et la durée des appels.

Rester vigilent vis-à-vis des enfants

Les enfants sont plus vulnérables que les adultes en ce qui concerne les ondes électromagnétiques. Comme leur boîte crânienne est moins épaisse, elle absorbe 10 fois plus de radiation que celle d’un adulte.

De même, les femmes enceintes doivent être préservées car l’eau du placenta et les cellules de l’embryon sont sensibles aux rayons et aux ondes.

L’accès au smartphone n’est pas recommandé pour les enfants de moins de 15 ans, le recours devant être exceptionnel, en cas d’urgence. Et même si les tablettes sont devenues tendances, il faut faire attention.